Writing Press

2022 – Non romanesque

Theo Hakola – Mes disques à moi… Stan Questa – Rock ‘n Folk

Theo Hakola, une vie de musique et de révolution Yves Gabay – La Dépêche

Épilogue Philippe Schweyer – Novo

2022 – Sur le volcan

“Le récit tient en haleine jusqu’à l’ultime chapitre, dont on laissera au lecteur le plaisir de découvrir la poétique trouvaille, mais Sur le volcan frappe davantage encore par le souci de ne plus se payer de mots, d’appeler un chat un chat. Éric Naulleau, TRANSFUGE

“Une tragédie grecque hantée par Stendhal. Un texte politique, très sophistiqué dans sa construction.” Laurent Goumarre, Côté Club, FRANCE INTER

“Un roman qui échappe au tragique grâce à des personnages iconoclastes.” Marion Guilbaud, BIBA

“Theo Hakola n’est pas seulement un des piliers du rock hexagonal depuis quatre décennies (Orchestre rouge, Passion Fodder…), mais un impressionnant artiste multicarte, dont un romancier inspiré, comme le confirme cette tragicomédie moderne, sous l’œil bienveillant de Malcolm Lowry.” Philippe Blanchet, ROLLING STONE

“Un écrivain capable de nous embarquer dans un périple rocambolesque à travers l’Europe, armé d’un humanisme revigorant dont on espère qu’il est contagieux.” Philippe Schweyer, NOVO

“Un roman qu’il est presque impossible de reposer avant de l’avoir terminé.” Kathleen Wuyard, FLAIR

2016 – Idaho Babylone

“(Theo Hakola) met son sens du rythme et ses souvenirs d’enfance au service d’un roman noir sur les dérives et les délires du religieux dans son pays natal… Fondamentalisme, radicalisation de la jeunesse et embrigadement moral : si les costumes, les coutumes et le culte ne sont pas les mêmes, le drame américain que déroule Hakola l’engagé ressemble pourtant étrangement au nôtre.” Léonard Billot, Les Inrockuptibles

“Un roman mené tambour battant qui ne fait pas mentir l’adage selon lequel « la route qui mène à l’enfer est pavée de bonnes intentions…” Stéphanie Lohr, Ici Paris

“De retrouvailles familiales en rebondissements osés, l’auteur dévoile avec un humour parfois féroce le visage sombre d’une Amérique qui malgré I élection d’Obama, a le plus grand mal à protéger ses enfants du racisme et de l’obscurantisme.” Novo

“On connaît peut-être moins Theo Hakola romancier, tout aussi excellent, à l’image de ce (faux) polar sur les dérives mystico-fascistes d’une Amérique profonde inquiétante.” Philippe Blanchet, Rolling Stone

“Avec cette plongée glaçante dans les eaux troubles du nationalisme redneck et de l’extrémisme chrétien. Hakola raconte l’embrigadement moral, le fondamentalisme et la radicalisation religieuse. Un drame américain qui résonne étrangement avec le nôtre.” Léonard Billot, Stylist

“Ce roman, à l’écriture cinématographique où l’on croise des personnages hors normes, traite d’un sujet grave maîs avec, parfois, un certain humour.” Entreprises Magazine

2012 – Rakia

“Avec des dialogues excellemment tournés et cette verve fondamentalement politique et savoureuse, l’ex-leader de Passion Fodder emmène le lecteur au plus proche de l’ivresse… Ou comment passer du statut d’icône rock de notre adolescence à celui d’écrivain infiniment précieux.” Etienne Greib – Magic

“Les notes sont justes et la partition addictive presque monocorde comparée aux dialogues brutaux, intempestifs qu’elle met délicieusement en valeur.” Sylvie Granotier.

” … il suffit de nous laisser porter par la mélodie de cet auteur. Car Rakia est avant tout une voix singulière: des verbes sans sujet, des phrases qui s’enchaînent et imposent leurs images, une sensualité certaine. Ce qu’il reste peut-être au final quand on a l’esprit embrumé par l’alcool, quand les fantômes se mêlent à la réalité: la soif de vivre.” Claire Lamotte – Nabbu.com

“Un Jules et Jim à l’envers à la sauce balkanique.” Novo.

Abus Dangereux, 2013: “Theo Hakola c’est ma tournée” – Cathimini

2008 – Le Sang des âmes

2003 – La Valse des affluents

2001 – La Route du sang